C'est un magnifique poème, qui me fait monter les larmes aux yeux.
Je reconnais une douceur féminine, sans doute l'influence de Solweig... mais ce sont bien tes mots.
Et quelle femme ne voudrait dans le secret de son coeur qu'un homme lui dise de tels mots, ne lui exprime cette attente, cette reconnaissance qu'il s'agit bien d'elle, cette certitude tendre de lendemains dans un été perpétuel.
J'ai retenu les mêmes mentions spéciales que Filo, ces passages sont particulièrement magnifiques.
Et peut être effectivement "Une mutuelle appartenance" sonne un peu moins bien, mais cela exprime exactement ta pensée, je suppose. Toujours difficile de concilier ces exigences.