Décontenancé, Filo ? Je suis désolée. Mon attention n’était que de
généraliser le plus possible le destin des femmes, nombreuses apparemment, qui après être entrées dans le cercle du mariage deviennent invisibles (parfois on dit - un meuble). Puis arrive un moment où ELLES
« écartent le rideau »….puis elles voient l’homme toujours danser (se
pavaner). C’est une désillusion mais pas encore un désespoir. Elle (et Lui)
sont au point culminant, dans une bifurcation, où on peut choisir : elle,
la femme – d’être une marionnette, et l’homme, devenir (comme Pinocchio) un vrai garçon.
Je ne voulais pas aller vers ces comparaisons, juste murmurer qu’il y a
des choix où on ne peut pas commettre de fautes. La danse c’est la vie à
l’endroit ou à l’envers. L’hermétisme, je ne pense pas ! Peut être la dernière
strophe est un peu plus personnelle.
Merci de me rendre visite !
Les femmes comprendront peut être plus facilement.
Margo, tu as raison – comme c’est facile de voir les
choses après des années, avec la sagesse de jour présent, mais serait-il
possible de « saisir l’autre « impossible » ?
Cordialement Solweig