Heu, hum, je n'ai pas compris la phrase de Breton comme cela, évidemment.
Ce qui m'a marqué dans ce qu'écrit Césaire, c'est parfois l'immense violence de ses dénonciations, et la profonde dignité de sa vie. Tout ce bouillonnement, ses révoltes, ses cris contre le racisme, la misère, s'exprimaient par des mots, et un combat quotidien. Mais l'homme en lui-même restait impassible, sans violence de fait, sans gesticulation, et je crois que Breton parlait de cette dignité-là.