Marc, chapitre 5

Comprends pas où tu as voulu en venir, là...

Encore une histoire de transfert et de deni...
Ha! Humain trop humain!

Margo.

Moi je trouve que ça fait très bibliques, l'histoire de Jésus avec le troupeau de porcs qui se jette dans le vide, ou alors quand il combat le Malin : "je m'appelle multitude"...etc.
C'est très bizarre quand même. Dis Sauge, en fait tu fumes des feuilles de sauge ou quoi ? Wahou, en tous cas j'aime bien le résultat !

Je m’explique. C’est un nouveau jeu : le jeu du pléonasme caché !

J’hésite en effet beaucoup sur ce « revenu à nouveau », faudra voir…

Tu n’as pas fait ton catéchisme, toi, filo !

Je me suis rappelé cette histoire de l’Evangile de Marc, qui m’avait marqué quand, petit, j’allais encore « à messe ».

Cette histoire d’esprits malins qui quittent un bonhomme pour rentrer dans la carcasse de cochons, c’était plutôt marquant !

Une référence sur une nouvelle récente que l’ai lue sur OR m’a donné envie d’aller la relire..

Je l’ai trouvée très puissante, fine. Passés les relents anti-cléricaux, la bible a quand même des ressources incroyables dans ses interprétations possibles. Comme un poème, finalement.

Le Nouveau Testament, vous savez, ce volume qui sert à coincer Nietzsche et Descartes, dans la bibliothèque…

Merci pour vos coms.

Sauge

Sauge, tu prends des risques!
Des têtes sont tombées pour moins que ça dans ce beau pays des droits de l'homme!

Margo.

Oui, Margo, prendre le risque d'intégrer la lignée de ceux qui ont lutté contre la bestialité qui nous habite toujours....
que l'on croit au ciel ou non, voilà le challenge.
Le thème mériterai d'être développé plus longuement!!

merci Sauge , la poésie est aussi alarme...
Mick

En effet, je crois qu'il serait intéressant d'aborder ici,le problème, en toute amitié.
Personnellement, je suis partante!

Margo.

Alors en vitesse, car je peux pas partir sans rien en dire :
comprends pas tout, lu trop vite, mais j'a-doooooore ton poème sur les porcs !!
ça rap pour moi ! Na na na na na na na na na !
Allez à bien plus tard mon aromate folâtre !
Cath

Je ne vois franchement pas le rap-porc, cherie.