Ailes éphémères

Je ne parviens pas à lire, bleu sur noir ça me troue les yeux.

Est ce mieux comme cela ?

Oui, merci !

J'ai donc pu lire ta poésie -je ne connaissais pas ta plume-
Je vois bien le thème que tu as voulu évoquer, mais deux trois bricoles attirent mon attention ; la répétition de "longue" dans la deuxième strophe. Et les regards de la première, dont on pourrait croire qu'ils sont ceux des ailes, telle que ta phrase est articulée.
Et puis enfin les terres "irréelles" (je me suis demandé "pourquoi irréelles ?")

Par contre j'aime beaucoup le "je m'octroie douze secondes d'éternité", c'est très beau.

Oui en effet un couac la doublette
Irréelles dans le sens "idéalisées"
Merci de ton passage Romane

J'ai bien aimé ta façon de nos faire voyager l'esprit vers d'autres contrées, je t'ai même imaginée derrière ton carreau, regardant passer cette flèche.

"Sens le vent" qui sent ? Ton esprit ? Dans ce cas, il y a une petite faute d'orthographe

Mêmes remarques que Romane, tes "douze secondes d'éternité" sont splendides.
Mais un souci de rythme à mon oreille délicate
Cette phrase: "aucun détour destination méridionale", me parait un peu bizarrement construite.
Et la dernière ligne de cette strophe me parait trop courte, l'adjectif sonnerait bien s'il avait trois syllabes.
"Sens le vent...", manque deux syllabes.
Dernière ligne : l'inversion de l'adjectif "palpitante" est un peu maladroite.
Pour le rythme, je ne compte pas, simplement je te dis mon ressenti.

Je sens (puissance de l'évocation) comme dans un rêve éveillé...

Je prends note Romane, Nighty et Constance de vos analyses perspicaces et vais effectuer les retouches adéquates

Merci