Me haces olvidar...
Tu me fais oublier
Tu me fais oublier qu’un prochain lendemain,
Un jour nappé de gris comme un ancien menton,
Mes lèvres n’auront plus ni souffle, ni pardon :
Ma voix se sera tue et mon ciel sera vain.
Me haces olvidar que en mañana alguna,
Un día gris, sin sol, como viejo mentón,
Entre mis labios, pués, no sera más perdón,
Aire más y más luz : seré sin voz ninguna !
Tu me fais oublier, par la douceur du sein,
Et le mohair des bras, par ta peau de coton,
Que je suis devenu vieux perdreau et grison...
Tu me fais oublier par l’œil, de lunes plein !
Me haces olvidar con tu seno-laguna,
De lana tus brazitos, tu piél de algodón,
Que soy por la edad un viejo perdigón...
Me haces olvidar con tu ojo de luna.
Malgré mon menton gris, mes aujourd’huis sont bleus
Grâce à toi, mon aimée et tes rides sont cieux
Dans lesquels des soleils, se levant de ton marbre
Aunque gris está mi mentón, hoy, mi día
Está azúl por ti, querida amada mía,
Cuya frente arrugada tiene un sol de mármol,
Incendient de clarté les futurs qui demeurent
En mon ciel si chargé par les mois et les heures !
Mais l’amour raffermit les branches du vieil arbre...
Alumbrando de luz el futuro que queda
En mi cielo que está cargado de edad.
Endurece el amor el anciano árbol.
gepetto