Il ne reste plus que les oiseaux et le ciel pendu au dessus des mains ouvertes.
Quel chemin étrange.
Quel chant !
Et ce rivage qui murmure…
Les vagues lèchent les pieds d’une statue ancienne dont le regard se perd de l’autre côté de l’horizon.
Là, le temps se traîne, à genoux.
Tape la porte de l’oubli de ses poings liés.
Puis.
Fin des vagissements.
Dans le placard, la robe de fête s’ébroue.
Secoue ses poussières d’étoiles.