Libre d’accès,
La route continue de le fuir.
Mettre un pas devant l’autre
Dans l’ornière,
Sur la peau vive de la Terre.
Poser ses pas
Dans les rizières de l’abondance
Comme ces éclats blancs recouvrant
Les jeunes mariés à la sortie d’une église, baroque.
La fête a son histoire,
Il faudra le conter.
Que la mer est triste, aujourd’hui.
Et ce prisonnier qui cherche encore ses chaînes,
Egaré dans le bleu.
Il faudra pourtant bien que l’histoire prenne fin.