Pour les allergiques aux chiffres.
Aurores de tant de siècles,
Je n'attends pas le jour!
Ma maison s'est plantée
En milieu de prairie
Par un après-midi
Où souffle un calme tendre.
Il y fait bon s'asseoir,
Se bercer de brandy,
Le nombre en est absent.
Les fondements n'ont eu besoin d'architecte.
Elle repose en souplesse
Sur l'azur lisse et tendre,
Nous renvoie les échos
Des passants étourdis.