Chagrin d’amour.

Mystérieux...
La sonorité des mots laisse une musique dans la tête, mais le fond y oppose une gravité, une sorte de fermeture assez dramatique.
le "et d'or" m'a surpris... il s'associe à "de valses"?

Quant au "laisse" sans sujet... autant cela fonctionnait lorsque tu avais éludé le "je", autant ici, ça me gêne.
Je sais que tu expérimentes, et tu as raison, mais là j'ai besoin de quelques éclaircissements !

Bon alors oui, il s'agit bien des valses d'or...

En ce qui concerne l'absence du pronom: "Elle", j'avais le sentiment que son "élision" nous le laissait à entendre avec plus de force.

(J'essaye de travailler dans ce sens.)

Un poème sans mot...

Mais peut-être n'est-ce qu'un effet produit par les antibiotiques que je suis obligée d'avaler en ce moment pour soigner ma grippe!

Et puis c'est vrai que je cherche et que peut-être je m'égare un peu en ce moment...

Merci beaucoup Filo.

margo a écrit:

Un poème sans mot...

Ah Margo, Margo !
Dans mes bras !*
















* Je crois que tu as tout compris à la poésie !

Les remarques de filo sont exactement les réflexions que je me suis faites.
Solution : remplacer les antibiotiques par un grog ?

Wahou... ai-je envie de dire, toujours constructive.
" l’étang glacé du présent"... tout est fort dans ce poème, j'ai comme l'impression que tu as vécu ce dont tu parles, et que tu as su le sublimer par tes mots, et autant par les vides entre tes mots, par des silences pudiques et des tremblements cachés.
Troublant.